Ahmad Ahmad ne sera pas seul dans la course à la présidence de la Confédération africaine de football et pour sa propre succession, lors de l’assemblée générale élective qui aura lieu le 12 mars prochain à Rabat (Maroc). Il fera face à d’autres candidatures qui commencent à affluer. Après Jacques Anouma, ancien président de la Fédération ivoirienne de football (2002-2011), qui a eu l’aval de sa fédération pour se lancer, deux autres candidatures se sont fait jour et ont déposé leurs dossiers sur la table de l’instance africaine.
Il s’agit du Mauritanien Ahmed Yahya, le président de la Fédération mauritanienne de football membre du comité exécutif de la CAF. Mais aussi du milliardaire sud-africain et président des Mamelodi Sundowns Patrice Motsepe. Un dirigeant dont la candidature a été présentée hier, lundi 9 novembre, par la Fédération sudafricaine de football (SAFA). « Il est la personne la plus apte que nous pouvons présenter pour ce poste. Nous ne voulons plus de problèmes éthiques à la tête de la CAF », a déclaré Danny Jordaan, président de la Fédération sud-africaine.
En attendant la date butoir de dépôt prévue le 12 novembre prochain, le nombre des candidatures déclarées pourrait largement dépasser le nombre de quatre. D’autres prétendants sont annoncés dans les premiers jours.
Pour être valable, tout candidat doit obtenir le parrainage de trois fédérations membres de la CAF, dont celle de son pays. Il faut ensuite obtenir la majorité des voix lors de l’élection. Au Sénégal, les yeux sont rivés sur Me Augustin Senghor dont la candidature a été évoquée par un journal algérien. Et des sources annoncent déjà la prochaine candidature du Président de la Fédération Sénégalaise de football (FSF).
Une candidature qui serait motivée par la menace d’une suspension au sein de la FIFA et qui pèse sur le dirigeant Malgache. Elu le 16 mars 2017 à Addis Abeba (Ethiopie), Ahmad aurait « enfreint le code d’éthique » et fait face à des problèmes de gouvernance et à des accusations de corruption.
sudquotidien
Il s’agit du Mauritanien Ahmed Yahya, le président de la Fédération mauritanienne de football membre du comité exécutif de la CAF. Mais aussi du milliardaire sud-africain et président des Mamelodi Sundowns Patrice Motsepe. Un dirigeant dont la candidature a été présentée hier, lundi 9 novembre, par la Fédération sudafricaine de football (SAFA). « Il est la personne la plus apte que nous pouvons présenter pour ce poste. Nous ne voulons plus de problèmes éthiques à la tête de la CAF », a déclaré Danny Jordaan, président de la Fédération sud-africaine.
En attendant la date butoir de dépôt prévue le 12 novembre prochain, le nombre des candidatures déclarées pourrait largement dépasser le nombre de quatre. D’autres prétendants sont annoncés dans les premiers jours.
Pour être valable, tout candidat doit obtenir le parrainage de trois fédérations membres de la CAF, dont celle de son pays. Il faut ensuite obtenir la majorité des voix lors de l’élection. Au Sénégal, les yeux sont rivés sur Me Augustin Senghor dont la candidature a été évoquée par un journal algérien. Et des sources annoncent déjà la prochaine candidature du Président de la Fédération Sénégalaise de football (FSF).
Une candidature qui serait motivée par la menace d’une suspension au sein de la FIFA et qui pèse sur le dirigeant Malgache. Elu le 16 mars 2017 à Addis Abeba (Ethiopie), Ahmad aurait « enfreint le code d’éthique » et fait face à des problèmes de gouvernance et à des accusations de corruption.
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